30 mars 2012
37/366 "aujourd'hui je pourrais écrire sur ma tête"
Il me restait trois quarts d'heure, j'ai tenté en vain de convaincre un coiffeur pour hommes désœuvré pour une coupe express. Je suis tombée sur la vitrine kitch de Tony. Minuscule salon clinquant, courette aménagée façon mosquée de Paris. Tony a fait...